Isabelle Müller - Psycho-praticienne certifiée
Nous avons tous le choix de vivre une vie sereine, une vie en harmonie avec nos propres valeurs et avec nous-mêmes.
Le problème réside souvent dans le fait que nous n’en sommes pas conscients, que nous nous perdons encore dans cet éternel besoin de vivre en fonction des attentes des autres, d’être bloqué par rapport à certains évènements qui nous emprisonnent.
Quelles que soient les raisons, démarrer un accompagnement thérapeutique, c’est choisir de rompre avec un sentiment de solitude et d’incompréhension face à ses difficultés.
C’est de décider d’apprendre à gérer ses émotions pour devenir indépendant de toutes formes d’influences dans son environnement.
L’objectif de mon accompagnement est essentiellement pragmatique et orienté vers des solutions pour vous aider à « mieux » vous comprendre et vous permettre de retrouver votre équilibre et votre autonomie.
Le champ d'application de la thérapie brève est immense, cependant, voici une liste des problèmes ou troubles sur lesquels je peux intervenir :
• Le manque de confiance en soi
• Le manque d’estime de soi
• Problème d’insomnie ou de fatigue chronique
• Une timidité bloquante
• Une image de soi dévalorisante
• Problème d’agressivité
• Une dépendance affective
• Une dépression légère
• Des difficultés relationnelles
• Un mauvais comportement alimentaire
• Des phobies
• Le stress ou l’Anxiété
• La séparation
• Problème de couple, déception…
Les protocoles de thérapies employés sont inspirés pour la plupart de méthodes récentes dont l'efficacité est validée par des essais cliniques: Thérapies Cognitives et Comportementales (TCC),la Thérapie systémique, l'Hypnose, la PNL.
La thérapie brève fait partie de la thérapie cognitive et comportementale basée sur le déconditionnement, littéralement le désapprentissage des symptômes et des comportements ou mauvaises habitudes qui ne nous conviennent plus.
Pour moi, psychopraticienne, la meilleure thérapie, c’est celle qui donne un résultat qui dure et résiste au temps.
En Aucun cas, une démarche thérapeutique ne peut se substituer à un traitement médical. Elle peut en être un complément.